vendredi 16 mars 2007

Les neurones impliqués dans la maladie d’Alzheimer sont ceux de la zone du cerveau concernée par l’apprentissage, la mémoire et le comportement émotionnel.
Pour la maladie de Parkinson, la dégénérescence touche les cellules intervenant dans le contrôle des mouvements du corps.
Ces maladies appartiennent à la famille des maladies dégénératives au même titre que le cancer ou les affections rhumatismales. Pour un grand nombre de patients atteints, il n’y a pas à proprement parler de facteurs héréditaires mais plutôt une prédisposition génétique même s’il est vrai que dans certaines familles les signes cliniques apparaissent dès l’âge de 35 ans et parfois même avant !
Les maladies neurodégénératives se caractérisent notamment par la formation de dépôts de plaques conduisant à la mort des cellules cérébrales. En outre la production des neurotransmetteurs tels que l’acétylcholine et la dopamine diminue ce qui se traduit par une perte des fonctions cognitives (mémoire, raisonnement, etc.) chez les sujets souffrant de la maladie d’Alzheimer et une perte du contrôle des mouvements chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
Remarque : la cognition et les fonctions cognitives concernent les divers processus mentaux de perception, de mémorisation et de raisonnement que l’être humain est capable d’accomplir.


Tous les facteurs de la figure ci-dessus participe de près ou de loin au développement des maladies neurodégénératives telles que la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique et bien sûr la maladie d'Alzheimer.

Or l'essentiel de ces facteurs relève de l'alimentation.

Conclusion: une certaine alimentation peut avoir un effet très bénéfiquement sur les maladies neurodégénératives.





efficacité de l'alimentation fonctionnelle sur les maladies neurodégénératives